Catégorie : Articles Nouvelle Zélande

Auckland et ses environs

On passe nos trois derniers jours en Nouvelle-Zélande dans les environs d’Auckland.

Auckland est vraiment la très grande ville de Nouvelle-Zélande avec ses buildings et ses embouteillages. On n’était plus habitués ! On y flâne un peu. Et par hasard, dans une petite rue piétonne,  on tombe sur un petit resto français avec une carte des fromages français ! Cela peut paraître étrange mais après un mois sans fromage, sans pain,…On ne résiste pas!

Le lendemain, direction Goat Island,  une réserve marine au nord d’Auckland sur la côte est. Un joli coin! On loue masque et tuba: rencontre avec quelques poissons et une raie!

Pour finir, un passage par Muriway Beach (côté ouest) où on fait le coucher de soleil avec une colonie de fous austraux! En arrivant près de la colonie, on se réjouit déjà de les apercevoir à 100 mètres,  lorsque Jb (surexcité !) s’aperçoit que certains sont à 10 mètres seulement des barrières! Incroyable! On passe la soirée à les observer, les photographier et profiter du paysage avec coucher de soleil.

Après cette belle soirée, il est temps de mettre de l’ordre dans nos sacs avant le vol du lendemain…

On quitte la Nouvelle-Zélande avec de supers souvenirs et l’envie d’y revenir!

Péninsule de Coromandel

On passe quelques jours sur la péninsule de Coromandel pour profiter une dernière fois des belles forêts avec fougères arborescentes et découvrir de belles plages dont la célèbre de Cathedral Cove.

Première baignade dans l’ocean Pacifique: Jb se régale !

Pour finir la journée,  on pense aller creuser notre petit bassin d’eau chaude à HotWater Beach, mais pas de chance, les horaires des marées ne correspondent pas à notre passage. Jb en profite pour faire quelques photos d’un oiseau endémique de l’île Nord: le nothern NZ dotterel (une espèce de pluvier)  pendant que Steph bronze!

JBB_2774
« de 10 »

Wai-o-tapu et Rotorua

Dès notre arrivée à Wai-o-Tapu,  pas de doute, nous sommes dans une région géothermique.  Beaucoup de fumerolles s’échappent un peu partout dans les prés autour de nous.

On profite de la région pour découvrir geyser, sources bouillonnantes, lacs colorés,  dépôt de soufre,… Les couleurs sont impressionnantes, ça sent l’oeuf pourri et on se balade au milieu de vapeur chaude.

On passe un peu de temps à Rotorua (toujours accompagnés d’une odeur d’oeuf pourri).  L’occasion de faire connaissance avec les Pukekos au camping (étrange oiseau mi-poule mi-dinosaure au réveil un peu trop matinal pour nous !).

L’occasion également pour Jb de pêcher à nouveau sur les abords du lac Rotorua, sans grande réussite cette fois-ci !

JBB_2518
« de 20 »

Tongariro Alpine Crossing

Ayla nous avait dit : « you MUST do the Tongariro Alpine Crossing », on a compris pourquoi…!

Depuis plusieurs jours on regarde la météo en espérant trouver une journée favorable pour faire cette randonnée de 6-7h. On se décide pour jeudi dernier, mais pas très confiants…

Jeudi matin : lever 4h30 pour prendre la navette qui nous emmène au point de départ de la randonnée, on s’inquiete un peu, les nuages sont bas, certaines zones dans le brouillard…

Au point de départ à Mangatepopo, notre chauffeur nous fait un petit briefing rapide de la rando, on ne comprend pas tout d’autant plus que certains passages sont en maori…juste que si les panneaux lumineux situés sur le parcours s’eclairent en rouge, nous devons faire demi-tour car une éruption menace…rassurant!

Le chemin commence tranquillement et finalement les nuages donnent une atmosphère très sympa à ce début de randonnée, le soleil perçant même de temps en temps!

Au bout d’1h30 le chemin devient beaucoup plus abrupte et malgré la fraîcheur matinale, on a vite très chaud! A la fin de cette première montée on arrive sur le South Crater, énorme cratère, que l’on traverse au pied du volcan Ngauruhoe, majestueux avec sa couleur rouge et son chapeau de nuages! On est émerveillés…Les paysages sont lunaires, on se regarde en souriant bêtement.

A la sortie du cratère, le chemin grimpe de nouveau, et le vent est très fort, on ne regrette pas d’avoir acheter des bâtons de marche et d’avoir pris des gants!

Arrivés au sommet la vue est tout simplement magique…Le Red Crater porte bien son nom, toute la palette rouge est présente sur fond de mer de nuages et avec derrière nous le Ngauruhoe! On reste longtemps à contempler, à se regarder sans vraiment trouver les mots. Steph répète c’est génial, Jb répond c’est magique! On est émus…

Quelques dizaines de mètres plus loin on découvre les fameux Emerald lakes qui font la réputation de cette randonnée! Même si nous sommes à contre-jour, le spectacle est magnifique! La couleur de l’eau passe du bleu au vert turquoise et sur les bords, les fumerolles et la couleur jaune du souffre complètent le tableau.

Derrière nous les nuages arrivent, le Ngauruhoe commence à disparaître… Steph décide de hâter le pas pour qu’on ait le temps de voir le dernier lac, le Blue lake. Elle court même pour que le brouillard ne nous dépasse pas! Une minute après être arrivés au bord du lac, le brouillard tombe et on ne voit plus à 10m devant nous!

La descente est du coup moins réjouissante, nous n’avons aucune vue et ce n’est qu’au bout de 2h30 de marche que nous passons sous les nuages.

On a compris ce qu’était un site volcanique UNESCO… 😉

Sans doute, un des plus beaux souvenirs jusqu’à présent.

JBB_2568
« de 20 »

Pêche à la mouche à Turangi

Nous voilà dans la région de Turangi, réputée pour ses randonnées dans le Tongariro Park et pour la pêche à la mouche.

On décide de se poser quelques jours, l’occasion pour moi de louer du matériel de pêche pour enfin titiller les truites néo-zélandaises!

Le passage par la boutique de pêche locale est l’occasion de découvrir des mouches souvent énormes,  et parfois très différentes des mouches utilisées en Europe.

La Tongariro river est splendide, les gobages peu présents au début, sont partout en fin d’après-midi! Je ne sais plus où donner de la canne! Après quelques tâtonnements pour trouver la bonne mouche, une première truite s’intéresse enfin au gros « cul-de-canard » qui lui est proposé!

Pendant ce temps Steph dessine sur les galets et rempli son carnet des anecdotes des jours précédents. Elle prend son rôle de photographe très à coeur mais sans waders, difficile d’etre au plus près de l’action!

Je termine la journée avec trois poissons de taille moyenne pour cette rivière…

Le lendemain je loupe la « truite de ma vie » ;-)… une grosse arc en ciel d’au moins 60 cm casse ma ligne après quelques minutes de combat…

Heureusement je m’amuse, et je me console avec une bonne quinzaine de truites dont une de presque 50cm que je réussi à maîtriser cette fois!

Mon Siou j’ai jamais autant pensé à toi!!!

🙂

DSCN0302
« de 12 »

De Picton à Wellington: on change d’île!

Picton est une ville toute petite qui ressemble aux villes déjà traversées ( peu de bâtiments historiques, une rue principale avec toutes les boutiques et leurs avancées de toit).  Le port et le bord de mer sont bien aménagés (pelouse, transat et terrasses de café)  et agréables à parcourir. Dans le port, on a été surpris de voir des raies nager entre les bateaux. D’après un habitant, elles sont visiblement habituées des lieux.

Le lendemain, une journée un peu maussade pour la traversée,  Jb se faisait pourtant une joie de faire des photos de la baie ensoleillée.

 Après 3 heures,  on arrive à Wellington. Cette fois, c’est une grande ville avec des bâtiments très hauts et très animée pour un dimanche soir. On profite de la soirée et de cette ville agréable pour goûter le vin néo-zélandais (on a pensé à toi Juju: Pinot gris pour Steph et Syrah pour Jb )  et quelques spécialités: un délice!

Le lendemain, on visite le musée Te Papa sur la faune et la flore locales et l’histoire et la culture du pay: très enrichissant (merci Ayla pour l’info).

 On reprend la route l’après midi pour le centre de l’île nord.

JBB_2099
« de 15 »

Abel Tasman

Après quelques heures de route vers le nord,  on arrive à Marahau dans Abel Tasman National Park. Un petit village, une immense plage et un étrange balai de tracteurs véhiculant des bateaux qui nous interpelle!

Le lendemain, rdv à 8h30 pour une excursion en kayak. On comprend mieux le rôle des tracteurs :  on embarque à terre sur un bateau taxi qui est ensuite remorqué jusqu’à la plage par un tracteur. En l’absence de port, ce fonctionnement permet de s’affranchir des marées et de proposer des sorties à toutes heures.

Nous voilà donc partis en « Water taxi ». Nos kayaks nous attendent sur une superbe plage quelques kilomètres plus loin. Malgré une légère appréhension pour Steph, c’est parti pour quelques heures à pagayer le long des côtes! Après quelques ajustements de synchronisation entre les deux pagayeurs, on se régale ! L’eau est bleu turquoise, on passe au plus près des otaries et des cormorans qui se font sécher au soleil! On se faufile dans des petites criques abritées, c’est magnifique!

La découverte du parc se poursuit à pied, le bruit des cigales nous accompagne, la chaleur est extenuante mais quelle vue! Les couleurs sont encore plus belles qu’en kayak.

On termine la journée sur la plage de Marahau avec des zones recouvertes (ou presque) d’étoiles de mer,  toutes plus colorées les unes que les autres. Steph s’émerveille et les observe de longues minutes dans les zones encore en eau. Jb se fait plaisir à approcher les huitriers et les barges comme jamais.

Chouette journée, on regrette de ne pas avoir prévu plus de temps dans ce coin, mais le ferry pour passer sur l’ile du nord nous attend le lendemain.

DSCN0233
« de 18 »

La côte ouest et ses glaciers

Queenstown,  une ville trop touristique à notre goût,  mais où l’ on a tout de même profité de ses terrasses ensoleillées,  admiré le beau panorama avec le lac et dégusté un délicieux Fergburger (merci Ayla pour l’adresse, on s’est vraiment régalé !).

Après une bonne nuit passée en B&B (dans un vrai lit!), nous voilà partis sur la côte Ouest en direction des glaciers.

Beaucoup d’arrêts sur le bord de la route car les paysages sont magnifiques (lacs, immenses rivières où Jb se verrait bien pêcher et pour lesquelles il s’émerveille de si grands espaces naturels,…)

Et enfin, nous arrivons aux glaciers Fox et Franz Joseph. Nous sommes impressionnés par la proximité des glaciers avec la forêt humide, par l’immensité de la vallée glaciaire dans laquelle on a marché,  par le bleu de la glace (pas bien visible sur les photos) et par leur recul (leur position antérieure étant matérialisée par des panneaux).

JBB_1808
« de 15 »

Kepler Track: days 3 and 4

Pour le troisième jour on repart bien courbaturés de la descente infernale de la veille. Mais heureusement aujourd’hui c’est relativement plat, on marche dans la forêt et dans de belles clairières, on traverse et suit plusieurs rivières et ruisseaux tous très différents.

Les oiseaux sont omniprésents, leurs chants très différents des chants européens, nous accompagnent toute l’étape. Ils sont très peu farouches, viennent voler autour de nous, se posent à moins d’un mètre parfois, on se règale!

Au bout de 5 heures on arrive au refuge, heureux de se poser à nouveau et de reposer nos pieds qui commencent à souffrir!

La Power ranger du soir est hystérique,  on ne comprend pas tout à son discours sur les sites UNESCO (dont la zone traversée fait partie)…

On retrouve un lavabo (pour 20 personnes environs…) mais cela fait du bien de se rafraîchir un peu!

La nuit n’est encore une fois pas super, entre moustiques, chaleur moite et sandflies…

Le dernier jour est plus tranquille, seulement 2 heures 30 de marche, quelques ponts suspendus (qui bougent bcp trop!) plus loin nous sommes arrivés !

On en a bavé mais heureux de l’avoir fait!

Le soir on s’offre un bon gros fish and chips pour nous récompenser et pour changer de la nourriture lyophilisée !

On part sur Queenstown, ville un peu trop agitée pour nous mais on en profite pour se reposer et se requinquer en terrasse!

(PS: on a ajouté les réponses au jeu des otaries et lions de mer dans l’article Allans Beach !)

Kepler Track: day 2

Après une nuit peu reposante dans la « hut »,  entre ronfleurs et agitation très matinale, nous voilà répartis sur les crêtes pour la seconde étape. Direction Iris Burn où nous planterons la tente cette fois-ci.

L’étape commence par une bonne grimpette, pas le temps de s’échauffer! Au bout d’une heure on arrive sur les crêtes, le panorama est grandiose! On est bien couverts car le vent est très fort (environ 100km/h) , et nous déséquilibre régulièrement, surtout la pauvre Stéphanie qui a manqué à deux reprises de se retrouver allongée dans les fourrés!

L’étape n’est pas facile pour Jb qui ressent une forte douleur au genou ,  mais on avance à notre rythme. On passe de crêtes en crêtes, toujours enjoués de découvrir le nouveau paysage qui s’offre à nous a chaque virage!

Sur le trajet sont disposés des toilettes peu engageants : arrimés avec des câbles en bord de crête.

Après 5 heures de marche, on commence la descente vers la vallée, on pense être presque arrivés…mais il a fallu descendre 1000 mètres de dénivelé en 2h30, ça nous a paru interminable!

On arrive en bas les jambes et surtout les genoux en compote! Bien contents de pouvoir monter la tente et de se poser un peu, d’autant que la clairière est superbe!

L’hygiene est minimale (clin d’oeil pour Françoise), pas de lavabo et une « fosse à poupou » en guise de toilettes!

Le Power ranger du soir est plutôt sympathique, il nous imite à merveille les chants du kiwi en nous disant qu’on les entendra sûrement pendant la nuit.

Beaucoup de sandflies » ( petites mouches qui paraissent inoffensives mais très voraces!), on se met vite à l’abri dans la tente et on s’endort épuisés, tampis pour le kiwi!!!

JBB_1620
« de 14 »

Kepler track: day 1

Mercredi matin, départ pour le Kepler Track pour environ 50 km en 3 jours et demi.

Résumé du premier jour:

On débute au bord du lac de Te Anau en traversant une forêt luxuriante avec ses arbres immenses (beaucoup de « beech »: espèce cousine du hêtre),  ses fougères arborescentes et tout un tas de plantes epiphytes. Impressionnant!

Au bout d’1h30, le sentier s’élève, c’est parti pour 4h de grimpe et un dénivelé d’environ 1000 metres. Les cuisses chauffent, on sent le sac  peser mais on se motive (Steph se répétant qu’elle est une « Ninja turtle » et que rien ne sert de courir…toujours une histoire de tortue!) et ça en vaut la peine. Au fur et à mesure, on aperçoit entre les arbres le panorama qui nous attend. A la sortie de la forêt, la vue est époustouflante à 360 degrés et la hut (refuge) n’est plus qu’à 45 minutes: le bonheur!

La journée s’est soldée sans ampoule (ouf! Merci Siou pour tes conseils chaussettes!), avec la visite de deux kea (waou!) et le discours du ranger de la hut (dénommé « Power ranger » par Jb) sur les méfaits des petits mammifères sur les oiseaux locaux (il est même allé jusqu’à sortir un furet empaillé de son short!).

(sinon pour information, la newsletter fonctionne! Inscrivez vous en page d’accueil pour être averti des nouveaux articles !)

JBB_1806
« de 13 »

Allans beach

Faute de connexion internet pendant un trek de 4 jours  nos articles ont pris un peu de retard. Mais on va essayer de se rattraper!

Avant de quitter la péninsule d’Otago lundi dernier, on a quand même fini par trouver une plage accessible gratuitement au bout d’une piste en graviers.
Tout simplement superbe, sauvage et rien qu’à nous ou presque…puisqu’elle est occupée par une colonie de lions de mer de Hoocker (rare d’après les informations qu’on a trouvées), otaries à fourrure, des huîtrier-pie vraiment peu farouches et même des « little blue penguins  » (pour rappel: chouchou suprême de Stéphanie, en bonne position pour détrôner le macareux 😉 ) !
D’ailleurs on était tellement obnubilés par un petit blue penguin sous un rocher qu’on avait pas calculé l’otarie en forme de rocher située à 2m de nous! Son grognement nous a vite fait reculer!

Sur deux des photos vous pourrez vous amuser à chercher lions de mer et otaries, ils se fondent dans le paysage (réponse prochainement)!

Finalement derrière la partie touristique un peu exaspérante, cette péninsule cache des jolies surprises!

JBB_1433
Cherchez l'otarie sur laquelle on a failli marcher!
« de 15 »

Solutions !

JBB_1433_20150216183533912 JBB_1451_20150216183417731

Péninsule d’Otago

Après Kaikoura, nous avons pris la route vers le sud et la péninsule d’Otago. Sur le trajet nous nous sommes arrêtés non loin de Oamaru pour voir les Moeraki boulders,  des formations sédimentaires étonnantes. D’après notre traduction sans doute approximative du panneau explicatif, ce serait des concrétions de sédiments agglomérés autour de galets et coquillages.

La suite du trajet a valu quelques sueurs froides à Stéphanie, pendant 15 km à l’entrée de la péninsule d’Otago, la route serpente le long de la côte sans parapet ni barrière, avec la mer à environ 1m de la chaussée…

Les paysages sont toujours aussi beaux, les animaux sont toujours aussi présents et peu farouches (otaries, huîtrier-pie, cormorans,…). Nous avons même eu la chance d’apercevoir les albatros sur nid et quelques jeunes de manchots à oeil jaune et un « little blue penguin » (chouchou de Steph) dans son nid aménagé par le centre de conservation de l’espèce. On espère les apercevoir de nouveau ce soir sur la plage!

Petite déception, la péninsule est très privatisée et très touristique, les accès ouverts à la mer et aux espèces animales sont rares et payants.

Demain nous reprenons la route en direction de la région des fjords (ville de Te Anau).

La météo est maussade aujourd’hui on espère que cela va vite s’améliorer!

JBB_1375
« de 12 »

Kaikoura peninsula walkway

Après une nuit de tempête au cours de laquelle notre tente a brillamment fait ses preuves, nous avons poursuivi nos découvertes de la région de Kaikoura. Direction la péninsule qui abrite les colonies d’otaries, toujours avec nos jumelles! Encore une fois elles n’ont pas servies mis à part pour admirer les détails des moustaches…On a pu approcher les otaries à 10 mètres!

Des paysages toujours aussi magnifiques avec la petite couche de neige tombée sur les sommets pendant la nuit!

La côte est superbe, certains y trouveront sûrement un air de Finistère nord!

s de laquelle

Kaikoura

Après deux jours d’avion, peu de sommeil, un rapide passage par Christchurch oú nous avons atterri, nous commençons à découvrir la Nouvelle-Zélande!

Première découverte: les joies de la conduite à gauche et boîte automatique! Entre JB qui a tendance à confondre  la pédale de frein avec la pédale d’embrayage qui n’existe pas (attention derrière!) et Steph qui veut passer les vitesses dans la portière…

Nous voilà donc à Kaikoura! De magnifiques montagnes qui plongent dans l’océan turquoise! Et pour nous finir de nous combler, des dauphins qui nagent, sautent, pirouettent dans la baie! On se croit dans un film.

Du coup on a pas pu résister à un petit tour en mer en espérant apercevoir une baleine du bout des jumelles. On a pas été déçus et les jumelles sont restées dans le sac!!! On vous laisse profiter des photos!

Baleines, orques, cachalots, dauphins, albatros et même des petits requins (pas de photos)!!!

On était émerveillés!

Loading...
X